Noveling Life

Univers D'Un Apprenti Conteur – Alsem WISEMAN

Der Untergang (La Chute)

1 mai 2006

 

 

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Synopsis

Berlin, avril 1945. Le IIIeme Reich agonise. Les combats font rage dans les rues de la capitale. Hitler, accompagné de ses généraux et de ses plus proches partisans, s’est réfugié dans son bunker, situé dans les jardins de la Chancellerie.

A ses côtés, Traudl Junge, la secrétaire particulière du Führer, refuse de l’abandonner. Tandis qu’à l’extérieur la situation se dégrade, Hitler vit ses dernières heures et la chute du régime. (Source Allociné)

 

Impression

Ce film est bluffant et mérite vraiment le détour. A mon sens il résume assez bien la folie, l’absurdité et l’atrocité de la guerre en montrant les extrémités vers lesquelles l’homme peut-être amené quand il s’attache à des idées sans jamais les questionner!

Je ne vais pas me pencher sur la polémique qui tourne autour, mais je pense que ce film a au moins le mérite de montrer que les auteurs de cruautés sans nom ne sont pas nécessairement des monstres avec des cornes sur la tête et des crocs sortant de la bouche, mais des humains comme chacun de nous ! Fait qu’on a souvent tendance à oublier, et peut-être en question chacun nos propres actions, peut-on espérer quelque chose de meilleur pour tous !

C’est un peu cela le message que j’ai reçu de ce film !

Elle

29 avril 2006

Je n’ai pas médité longtemps
Je l’ai vue et dès l’instant
Je l’aime tant
Je l’aime trop
Et parfois il me semble
Que mêmes les plus beaux mots
Ne sauraient ensembles
Décrire justement ce que je ressens
Ce que j’éprouve pour elle
Belle, comme le jour et la nuit
Sévère comme la mort et la vie
Triste comme le rossignol qui chante
Agréable comme une voix qui enchante
Oui elle est à la fois joies et pleurs
Et souvent d’un regard charmeur
Elle aime à apaiser les douleurs
Dont elle a été l’auteur
Pourquoi est-ce que je l’aime tant ?
Elle et ses états inconstants ?
Je ne saurais le dire
Et même j’aime son sourire
Peut-être est-elle la romance
Mélodie de ma démence
Jolie chanson de ma folie
Et il est vrai, très belle
Mais elle n’est pas parfaite
Et cela ne fait rien parce qu’en fait
Je l’aime telle quelle

Puisse Dieu faire qu’elle m’aime
Car tout mon être aspire à elle
Comme si ma vie n’avait qu’un thème
Savoir que je suis né pour elle

A Camille

29 avril 2006

Senteur d’hyacinthe et de verveine
Elixir de tilleul et de camomille
Mon âme grisée de ma chère Camille
Extase brûlant dans chacune de mes veines
Elle est pour moi le printemps
Le renouveau, un second souffle de vie
Eclatant, vibrant, enivrant et exubérant
Chaque instant, je souffre l’envie
L’attente, l’expectative de sa présence
Tandis que pléthore de rêves charmants
Se joue de ma raison et gaiement
Lui donne sur toute chose la préséance
Car elle est de mon imaginaire la reine
De ma réalité la fée
Une mélodie plus subtile que celles d’Orphée
Alternativement allège et alourdit ma peine

Que te dire petite Camille
Alors que je couche ces lignes
J’imagine les jours, les nuits
J’imagine le signe
Qui viendra me sortir de mon ennui
Que te dire petite Camille
Alors que sur mon cœur souffle
Une délicieuse mélodie
Un chant d’amour que je souffre
Qui m’emplit de mélancolie
Mélancolie ? Que dis-je
Langueur, désir, envie de volupté
Et dans ton regard, qu’y puis-je,
C’est hors ma volonté
Si j’y vois paix et félicité
Si j’y vois, toi et moi plébiscités
Si j’y vois une passion latente
Réponse parfaite à mon attente
Dans tes yeux, qu’y puis-je
Si je m’y noie volontiers
Et pris d’amour et de vertige
Ne demande qu’un geste et de l’amitié

Ecrin de Soleil

23 avril 2006

Chaque jour à toi une pensée
Un brin d’esprit, une étoffe de mon âme
Tandis que mon cœur après toi verse une larme
Et puis espère ne point te voir offensée

Car c’est un sens noble qui désormais l’habite
Depuis que tes yeux claires et perçants
Se sont posés sur moi et, tacites
Ont transmis une envie de plus, un besoin charmant

Puisque rien au monde ne compte plus vraiment
Si ce n’est ton sourire ou le son de ta voix
Puisque même si je crie parfois, rêve de toi
Mon âme, elle, frémit et désespère invariablement
Délice et peine, tu es les deux à la fois
Gorge serrée, mains crispées, sans voix
J’espère de toi un remède à mon chagrin
Que pour moi tu sois de soleil un écrin

Aude (Ode) à la Beauté

29 janvier 2006

Aude a la beauté discrète
Rassurante, celle d’une lune à son zénith
Aude est une bénédiction céleste
Une étoile du soir, un soleil émérite

Aude me rappelle ma propre maladresse
Sa timidité, néanmoins, revêt bien plus de charme
Dans ses yeux je lis une passion latente
En attente. Comment l’atteindre avec justesse

Je sens qu’elle est celle que j’attendais
Celle que longtemps j’ai souhaitée
Je crains de la perdre avant que de lui dire
La perdre avant qu’elle ne sache combien je tiens à elle
Pour au bout du compte me maudire et me dire
« Tu as failli et ce n’est pas sa faute à elle »

Telle quelle, je l’apprécie
Ne regrette pas le cœur qu’elle m’a ravi
Je lui donnerais le monde s’il m’appartenait
De mon monde, elle est la dulcinée
Aude est une ode à la beauté
Un amour, une sœur, une princesse de volupté !

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Aude a la beauté discrète
Elle m’inspire une eau qui dort
Aude a un charme direct
Qui vaut son pesant d’or

La demoiselle sympathique
Garde pourtant l’esprit critique
La fille gentille
N’a de vérités qui vacillent

Aude est belle, et elle s’en moque
Ni vulgaire, ni bourgeoise
Elle reste elle, et ça provoque
En moi, un cœur d’ardoise

Un cœur noble que je lui dois
Un cœur pur de sentiment
Ame-sœur, mon émoi
Envers toi, un serment

Oui, j’aime bien Aude
Pourquoi m’en cacher
Je veux mieux la connaître
À elle, m’attacher

« Je t’aime Aude »
Sera un air à la mode
Aude, ce nom m’inspire une Ode
À l’amour que tu es pour moi.