Noveling Life

Univers D'Un Apprenti Conteur – Alsem WISEMAN

Articles associés au tag ‘SFFF’

The Wise Man’s Fear – Patrick Rothfuss

samedi 26 mars 2011

The Wise Man's Fear

Nombre de pages: 1008 pages

Editeur: Gollancz (1 Mar 2011)

ISBN-10: 0575081414

ISBN-13: 978-0575081413

“So yes. It had flaws, but what does that matter when it comes to matters of the heart? We love what we love. Reason does not enter into it. In many ways, unwise love is the truest love. Anyone can love a thing because. That’s as easy as putting a penny in your pocket. But to love something despite. To know the flaws and love them too. That is rare and pure and perfect.”

Wise Man’s Fear P.66[1]

“Not pointless.” I protested. “It’s the questions we can’t answer that teach us the most. They teach us how to think. If you give a man an answer, all he gains is a little fact. But give him a question and he’ll look for his own answers.”

Wise Man’s Fear P.628[2]

Suite du très prometteur et captivant The Name Of The WindThe Wise Man’s Fear continue sur cette lancée en nous faisant découvrir Kovthe, l’homme derrière la légende. Le style de l’auteur est toujours aussi fluide que complexe.

L’intrigue est détaillée, la narration imagée, le tout jouissant de ce côté épique déjà présent dans le premier opus.

Pour raconter son histoire, Patrick ROTHFUSS a choisi de le faire par la bouche de son protagoniste, qui est un acteur, un musicien, un conteur et un magicien. Ce narrateur se reconnait comme quelqu’un de passionné, grandiloquent et qui n’hésite pas de mentir si cela peut donner une meilleure histoire que la réalité, même s’il insiste que les choses importantes seront toujours relatées avec exactitude. Nous sommes donc dans un cas de un narrateur peu ou non fiable (unreliable narrator), et cette entourloupe technique apporte un peu plus encore de suspens et de complexité au récit.

Le protagoniste donc, pour des raisons pratiques, va conter son histoire en trois jours, d’où la trilogie. Cette espèce de mise en abîme est très bien exploitée par l’auteur qui nous plonge littéralement dans son monde. Ceux qui ont aimé le premier jour, aimerons le second, d’autant plus qu’on découvre subtilement l’immensité de l’univers créé par l’auteur.

Le livre est dense et volumineux, et se savoure comme du bon vin. Si la Fantasy a été stigmatisée (et pas nécessairement à tort) d’être un genre où l’on met trop d’importance dans la construction d’un univers au détriment de l’intrigue et des personnages, on rencontre ici une structure tout à fait à l’opposé. Il est vrai que la plupart des personnes, après un voyage par exemple, vont rapporter leur impression par rapport à l’environnement bien entendu (beau, dangereux, désert, luxuriant, etc…), mais surtout par rapport aux personnes qu’ils auront rencontrés, il en est de même de Kovthe. Il décrit très bien sa relation par rapport à sa société au plutôt aux sociétés et différents personnages qu’il côtoie.

C’est d’ailleurs à ce niveau que j’émets mon seul bémol. Contrairement au premier livre, je trouve que l’auteur a été très chiche sur le background de l’histoire étant donnée la taille de l’ouvrage. Cela dit, j’attends donc vivement la suite pour connaître le fin mot de l’histoire.

Je recommande vivement cette œuvre, d’autant plus que les éditions Bragelonne, contrairement à ce qui semblait être devenu la règle lors de la traduction d’œuvre anglo-saxons en français, publie cette histoire en respectant la découpe originale.

Note : 8,5 / 10

 


[1] « Donc oui. Il avait des défauts, mais en quoi est-ce important lorsqu’il s’agit des affaires du cœur ? Nous aimons ce que nous aimons. La raison n’y est pour rien. À bien des égards, l’amour insensé est le plus vrai. N’importe qui peut aimer car. C’est aussi facile que de se remplir les poches. Mais aimer malgré. Connaître les défauts et les aimer de même, cela est rare, pur et parfait. »

 

[2] « Pas vain, protestai-je. Ce sont les questions auxquels nous ne savons répondre qui nous donnent le plus d’enseignement. Elles nous invitent à réfléchir. Si tu donnes une réponse à quelqu’un, tout ce qu’il reçoit est un simple fait. Donnes lui une question, et il cherchera ses propres réponses »

The Long Price Quartet – Daniel ABRAHAM

dimanche 17 janvier 2010

“We say that flowers return every spring” Dana said, “but that is a lie. It is true that the world is renewed. It is also true that the renewal comes at a price, for even if the flower grows from an ancient vine, the flowers of spring are themselves new to the world, untried and untested.

“The flower that wilted last year is gone. Petals once fallen are fallen forever. Flowers do not return in the spring, rather they are replaced. It is in this difference between returned and replaced that the price of the renewal is paid.

“And as it is for spring flowers, so it is for us.”

THE PRICE OF SPRING, p.347, Daniel ABRAHAM

Faisant écho à un article précédent de ce blog, vous parlant de mes envies de lecture, je viens vous présenter cette tétralogie d’un auteur que décidément j’affectionne, Sieur Daniel ABRAHAM. Et cela tombe bien puisqu’il se trouve que la traduction de l’œuvre en question existe maintenant dans la langue de Molière, de quoi ravir ceux qui autrement se seraient sentis frustrés (pour cause que l’anglais n’est pas leur tasse de thé ou de café ^_^), sous le titre Les Cités de lumière aux éditions Fleuve Noir.

Tout d’abord, les titres des quatre livres :

  • A Shadow in Summer (March 7, 2006) – La Saison de l’Ombre (Fleuve Noir, ISBN 978-2-265-08440-7, 2009)

ISBN 978-0765313409

  • A Betrayal in Winter (August 21, 2007)

ISBN 978-0765313416

  • An Autumn War (July 22, 2008)

ISBN 978-0765313423

  • The Price of Spring (July, 2009)

ISBN 978-0765313430

Ensuite, l’analyse de l’œuvre. En réalité, j’aurais voulu faire une analyse livre par livre, qui je pense aurait pu être encore plus pertinente en rapport au contenu, mais j’ai craint que faisant cela, je ne vous gâche le plaisir. Il est toujours un peu difficile de parler d’un coup de cœur, afin de donner envie, car le but bien sûr est de partager, sans pour autant en dire trop et garder intact le mystère d’un livre.

Aussi, est-ce la raison pour laquelle, j’ai choisi de faire court et vous parler de l’œuvre dans son ensemble, cela se justifiant également par le fait que les quatre livres font vraiment un tout indivisible, et que même si chaque chapitre amène des points de vue différents ainsi que de nouveaux personnages, l’idéal reste bien entendu de les lire selon l’ordre de leur parution, car il y existe bien un fil conducteur qui n’est autre que le personnage principal, Otah Machi.

L’auteur réussit avec brio à créer un univers cohérent et crédible, et surtout où la magie (l’art complexe de la maîtrise de ces êtres fabuleux, les andats) n’est pas un faire valoir pour sortir les héros des situations les plus désespérées.

Cette tétralogie, je la vois un peu comme un concert qui monte en puissance pour finir avec un final grandiose et qui justifient les attentes. C’est une fresque épique, intimiste, qui à ce jour encore, quelques mois après lecture, me laisse une profonde nostalgie.

Je pense qu’une fois de plus c’est le lyrisme de l’ensemble qui m’a touché. L’auteur a vraiment un talent pour les mots, pour exprimer avec justesse la complexité des sentiments humains. Ses personnages sont crédibles, multi-facettes, profonds, et cela sur presque tous les plans (humain, physique, mental). Et le fait que même les acteurs secondaires profitent d’un tel développement rend l’ensemble de son univers très vivant.

Comme un tisseur habile et patient, Daniel ABRAHAM élabore sa toile avec maîtrise et l’on sent au fil des pages l’exercice de l’excellence vers toujours plus d’excellence. La qualité de l’œuvre, si elle souffre des imperfections du premier roman — voire l’intrigue convolutée et quelque peu artificiel, diraient certains, du premier volume de la tétralogie —, est vraiment de très bonne facture, puisque les trois romans suivant viennent combler et même sublimer cet écueil.

Si l’on peut classer certainement The Long Price Quartet dans la branche Fantasy de la littérature, on réalise néanmoins tout de suite que le genre est pris à contre pied ou du moins que ses règles le sont. Ici l’action et la frénésie dans l’écriture ne sont pas primordiales, mais plutôt la portée des décisions prises par les intervenants à l’échelle des nations et de l’histoire, même les décisions plus triviales, du moins en apparence, même celles faites par des personnages d’a priori moindre importance.

Il explore une société inspirée du Japon féodal, en choc de culture avec une société ressemblant à l’Europe des Temps Modernes, triomphante dans ses technologies et conquérante.

Le choc sera en effet à la mesure des ambitions humaines, c’est dire : simplement terrible !

Si j’ai pu vous en donner envie avec ces quelques mots, alors n’attendez plus, courez vous procurer ces livres, je parie qu’une fois la lecture faite, vous ne serez pas déçus.

Note : 8,5/10



« Nous disons que les fleurs reviennent au printemps, pourtant c’est un mensonge. Il est vrai que le monde est renouvelé. Il est également vrai que ce renouveau vient à un prix, car même si la fleur croît d’une vieille branche, les fleurs du printemps sont elles-mêmes nouvelles au monde, ni avisées ou éprouvées.

« La fleur fanée l’an dernier est partie. Les pétales une fois tombées le sont pour toujours. Les fleurs ne reviennent pas au printemps, plutôt sont remplacées. C’est dans cette différence entre revenues et remplacées que se paie le prix du renouveau.

« Et comme il en est des fleurs du printemps, il en est de même pour nous »

Bilan 2009, projections 2010…

mercredi 13 janvier 2010

Une fois de plus des meilleurs vœux pour cette nouvelle année.
Pour ma part, elle débute relativement bien puisque ma petite princesse, ayant dépassé le cap des six mois, se montre de plus en plus éveillée et c’est un réel plaisir de passer le peu de temps qui me reste sur mes journées avec elle.
Quant à ma douce moitié, elle s’est engagée à m’aider dans mes écrits, en me proposant des bêta-lectures avisées. Quoi de plus pour rejouir un apprenti manieur de mots?
Là où je suis moins fier, c’est concernant mon bilan écriture de l’année 2009.
Mes trois projets de romans sont pour ainsi dire en stand by.
INTIKA que j’ai inscrit à deux défis d’écriture (sur CoCyClics et au NaNoWriMo) rechigne pourtant à prendre des signes.
Allégeance est à l’arrêt complet, et le début du Tome 2 du Cycle d’Al Khan avance timidement.
Le comble est que j’ai bien les idées déjà claires et l’histoire en tête, mais je ne suis pas satisfait lorsque je mets le tout sous forme écrite.
Objectif 2010, c’est de boucler au moins l’un de ces trois romans, je ne m’avançerai pas sur lequel étant donné le coté capricieux de mon inspiration ces derniers temps.
Mais bon, la volonté d’avancer est là et surtout l’envie d’écrire. Donc je reste confiant. Là où par contre, je sens que le défi risque d’être difficile à tenir, c’est du côté poésie.
Pas de nouveau poème depuis un certain temps, toutefois j’éprouve l’envie de plus en plus confirmée de faire un recueil de ceux que j’ai déjà écris, et la question qui se pose est celle de trouver une structure adéquate de présentation et de classification.
Ce que j’ai en tête promet, et j’ai déjà quelques idées sur l’exécution du projet, dont entre autres, arriver à exploiter de manière optimale le lyrisme des textes dans leur version audio et, bien entendu, pour rester dans l’optique des Chemins de l’Aube, les accompagner d’images.
Deuxième grand objectif 2010 (et même je dirais février 2010), donner un statut juridique aux Chemins de l’Aube, ce qui me permettrait de réellement rentrer dans l’étape production de ma future maison d’édition adorée!
Sinon, en autres autres bonnes résolutions, ben oui, y a que ça aujourd’hui, il faut bien se donner des objectifs dans la vie ^_^! Et bien, la résolution est de lire plus d’oeuvres françaises d’imaginaire.
Je me suis rendu compte en effet que je lis beaucoup de SFFF anglo-saxonne, mais du côté francophone cela n’est pas vraiment le cas, exception faite des bandes dessinées.
C’est donc faisant écho à un article précédent de ce blog que je me suis lançé fin d’année 2009 dans l’acquisition de certains livres qui me semblaient intéressants (La Langue du Silence, dont j’ai déjà fait la critique, Djeeb le Chanceur que je suis en train de lire, et Arachnae que je dois encore me procurer.
Et il y aura toujours bien entendu des chroniques sur mes coups de cœur d’Outre-Manche et d’Outre-Atlantique…
Sur ce, je vous laisse et à très bientôt donc 😉

Petit bilan artistique du mois de novembre

samedi 28 novembre 2009

L’année 2009 approche tout doucement vers sa fin et c’est je crois que le moment est bien choisi  pour faire un petit bilan sur mes différents projets littéraires.

D’une part il y a mon oneshot de fantasy INTIKA pour lequel je me suis inscrit à deux défis d’écriture en espérant pouvoir me booster afin d’accélérer sa finition. Le challenge premier jet de Cocyclics dont je parlais ici et le NaNoWriMo 2009.

Force est de constater que cela ne m’a pas beaucoup avancé. Non pas que je remette en cause l’effet stimulateur que peut avoir ce genre de défis, mais tout simplement, du point de vue personnel, je constate que j’en suis à une phase d’arrêt bien malgré moi. L’envie d’écrire est toujours là bien sûr, et le besoin d’ailleurs, mais l’encre ne coule pas de source si je puis dire…

Ce qui est d’autant plus frustrant si l’on a déjà en tête l’idée toute faite et prête de ce que pourrait être la suite de l’histoire : la retranscription n’est tout simplement pas convaincante pour l’instant.

Le problème est que je ne sais pas non plus diversifier, en faisant par exemple un peu de poésie ou bien en écrivant une nouvelle qui n’a rien à voir avec mon projet actuel, parce que tout simplement dans ma tête résonne la rengaine, il faut en finir avec ce projet avant de passer à autre chose. Par conséquent, je me retrouve un peu coincé à ce stade… C’est assez frustrant.

D’autre part, il y a toujours l’anthologie Chevalier Errant à préparer, et c’est là que je me dis que j’userai bien de jours à 48 heures, lol.

Enfin, et c’est le plus grand plaisir que j’ai en ce moment du point de vue littéraire, bien entendu, c’est de tenir en main en format papier l’anthologie Pouvoir et Puissance à laquelle j’ai participé (avec ma nouvelle Bémol tragique), publiée par Cyril CARAU aux Éditions Sombres Rets.

C’est très émouvant comme expérience quand est comme moi, un amoureux des livres, et sans seulement faire sa propre publicité, je pense être objectif en disant que c’est un ouvrage très réussi visuellement déjà et je pense également du point de vue contenu. Je donnerais dans un futur très proche l’idée que j’ai de l’ensemble des nouvelles, puisque je n’ai pas encore tout lu pour l’instant…

Editions Sombres Rets

Ceux qui souhaitent se procurer le livre peuvent le faire sans souci par le site de la maison d’édition, dont voici l’adresse :

http://sombres-rets.fr/

Je tiens à remercier Cyril CARAU et Elie DARKO pour le magnifique travail accompli sur cette anthologie qui met vraiment à l’avant l’œuvre de chaque auteur, et Alda pour avoir illustré avec autant de justesse ma nouvelle 😉

Sixième AT – Expérience paranormale

samedi 31 octobre 2009

Dans un monde pétri de logique scientifique, où la raison est reine et où tout est supposé quantifiable, comment justifier ce qui ne peut être prouvé!
Son expérience paranormale, votre personnage saura-t-il l’accepter pour lui-même, et plus, la clamer haut et fort aux autres sans la crainte de passer pour fou ?
Explorer votre imaginaire, pour nous offrir des récits de sorcières, de fantômes, de créatures tel le Cthulhu lovecraftien, de héros à la Sherlock Holmes, de mondes engloutis et de civilisations enfouies. Des récits qui viennent s’ancrer dans le réel que nous connaissons ou pensons connaître. Bref, ces histoires qui impliquent des événements inexplicables. Ces chroniques dans lesquelles subviennent des choses étranges, bizarres, mais jamais loin du tangible communément admis. Et les héros qu’elles décrivent sont souvent des personnes rationnelles, scientifiques, sceptiques, d’où la difficulté même qu’ils éprouvent à expliquer ce qui leur arrive…

Texte entre 30 000 et 80 000 signes espaces compris
Tolérance 10 %
Échéance : 31 juillet 2010
Vos textes à envoyer à l’adresse : manuscrit[at]cheminsdelaube.be

Itinéraires #4 De l’Exil Au Nouveau Monde

vendredi 30 octobre 2009

Itinéraires #4 De l'Exil Au Nouveau Monde

Mesdames et messieurs,

Je suis très heureux de vous présenter ce quatrième opus d’Itinéraires,

De l’Exil Au Nouveau Monde,

Il est vrai qu’il aura mis, comme son prédécesseur, du temps à paraître, mais j’espère bien que la qualité sera à la mesure de l’attente.

En tous les cas, bonne lecture, et à bientôt, je l’espère sur le forum, pour faire part de vos commentaires :

http://www.cheminsdelaube.be/forum/viewtopic.php?f=16&t=1091&start=0

Sommaire

Éditorial Willem LUKUSA

Destination ailleurs Aurélie LIGIER

La route des pèlerins Olivier GECHTER

La fuite André SAMIE

Partir Willem LUKUSA

COUVERTURE :

Florent GELLI « HANNIBAL »

ILLUSTRATIONS :

Anne Laure DAVIET « ALDA »

Annick D.C

Florent GELLI « HANNIBAL »

Anthologie Pouvoir et Puissance dirigée par Cyril CARAU – Éditions Sombres Rets

samedi 10 octobre 2009
Anthologie Pouvoir et Puissance

Anthologie Pouvoir et Puissance

Comme Je l’annonçais il n’y a pas longtemps sur ce blog, la maquette de l’anthologie Pouvoir et Puissance des éditions Sombres Rets est terminée et envoyée chez l’imprimeur, la sortie officielle devrait être pour la fin du mois d’octobre. 
Voici donc le sommaire alléchant auquel j’ai la chance de participer, ma nouvelle illustrée de main de maître par miss Alda et la couverture signée par le génial al1




La Préface, par Cyril Carau

Partie 1 : à n’importe quel prix…
Le principe de la Mandragore (texte : Richard Maurel, illustrations : Guillaume Tiret)
Bémol tragique ou la fin des Chantres (texte : Alsem Wiseman, illustrations : Alda)
Aboulanol (texte : Charlotte Bousquet, illustrations : Jijicé)
Une double allégeance (texte : Patrick Duclos, illustrations : Mathieu Coudray)

Partie 2 : cet allié qui vous trahit…
Le catalyseur (texte : Aurélie Wellenstein, illustrations : Nadia Sanchez)
Le standardiste (texte : David Osmay, illustrations : Grem)
Heroic Anonymous (texte : Estelle Valls de Gomis, illustrations : Elie Darco)
Change-peaux (texte : Elie Darco, illustrations : Cyril Carau)

Partie 3 : besoin vital et transcendance…
Stabat mater (texte : Céline Brenne, illustrations : Estelle Valls de Gomis)
Le serviteur (texte : Philippe Deniel, illustrations : Martine Fassier)
La Mission (texte : François Manson, illustrations : Annick DC)
Evolution (texte : Didier Reboussin, illustrations : Elodie Marze)

Partie 4 : des visages de l’absolu…
D’un claquement de doigts (texte : Thibault Scohier, illustrations : Elie Darco)
Les corps désirants : l’épreuve 13 (texte : Antoine Coppola, illustrations : Alain Mathiot)
Disques (texte : Bruno Grange, illustrations : Cyril Carau)
Le Rouge, le Blanc et l’Artefact (texte : Anthony Boulanger, illustrations : Tony Patrick Szabo)

Notices biographiques des auteurs et illustrateurs.

Il s’agit donc de 16 nouvelles et de plus de 35 illustrations Noir et Blanc que vous pourrez découvrir très prochainement, puisque nous espérons que Pouvoir et Puissance paraîtra, dans la collection Quêtes et Présages, à la fin octobre.

Puisque j’en ai l’autorisation, voici juste pour vous allécher un extrait de ma nouvelle :
[issuu layout=http%3A%2F%2Fskin.issuu.com%2Fv%2Flight%2Flayout.xml showflipbtn=true documentid=091010214633-3a309c6deef642ddb8ed22a1e9b624ec docname=bemol_tragique_ou_la_fin_des_chantres username=alsemwiseman loadinginfotext=B%C3%A9mol%20tragique%20ou%20la%20fin%20des%20Chantres%20-%20extrait width=420 height=298 unit=px]

Lectures désirées et critiques à venir

lundi 22 juin 2009

En ce qui concerne l’Outre-Atlantique, j’ai ma petite liste sous la main des livres que j’attends impatiemment de lire:

La tétralogie de Daniel ABRAHAM dont j’ai déjà lu les trois premiers tomes, le dernier sortant cet été, j’attends d’en faire une critique d’ensemble :

The Long Price Quartet :

* A Shadow in Summer (March 7, 2006)
* A Betrayal in Winter (August 21, 2007)
* An Autumn War (July 22, 2008)
* The Price of Spring (forthcoming)

Je ne sais pas s’ils ont commencé à être traduits en français, mais pour ce que j’en ai déjà lu, c’est vraiment fantastique et j’espère que la fin sera à la hauteur de l’ensemble.

Puis viennent, le deuxieme tome de The Kingkiller Chronicles de Patrick ROTHFUSS, The Wise Man’s Fear, et le premier tome de la seconde trilogie (The Aspect Emperor) de R Scott BAKKER dans l’univers d’Eärwa, The judging Eye.

Du côté francophone, m’étant rendu compte qu’en dehors de fanzine, blog et BD, je n’ai pas lu beaucoup de livres SFFF francophones, je me suis préparé une petite liste fort sympathique:

Arachnae, de Charlotte BOUSQUET

Djeeb le Chanceur, de Laurent GIDON

Au-délà de l’Oraison – La Langue du Silence, Samantha BAILLY

Le sacrifice du Guerrier, Jacques MARTEL

sdg1.jpgLe sacrifice du guerrier t2

Lectures désirées et critiques à venir

lundi 22 juin 2009

En ce qui concerne l’Outre-Atlantique, j’ai ma petite liste sous la main des livres que j’attends impatiemment de lire:

La tétralogie de Daniel ABRAHAM dont j’ai déjà lu les trois premiers tomes, le dernier sortant cet été, j’attends d’en faire une critique d’ensemble :

The Long Price Quartet :

* A Shadow in Summer (March 7, 2006)
* A Betrayal in Winter (August 21, 2007)
* An Autumn War (July 22, 2008)
* The Price of Spring (forthcoming)

Je ne sais pas s’ils ont commencé à être traduits en français, mais pour ce que j’en ai déjà lu, c’est vraiment fantastique et j’espère que la fin sera à la hauteur de l’ensemble.

Puis viennent, le deuxieme tome de The Kingkiller Chronicles de Patrick ROTHFUSS, The Wise Man’s Fear, et le premier tome de la seconde trilogie (The Aspect Emperor) de R Scott BAKKER dans l’univers d’Eärwa, The judging Eye.

Du côté francophone, m’étant rendu compte qu’en dehors de fanzine, blog et BD, je n’ai pas lu beaucoup de livres SFFF francophones, je me suis préparé une petite liste fort sympathique:

Arachnae, de Charlotte BOUSQUET

Djeeb le Chanceur, de Laurent GIDON

Au-délà de l’Oraison – La Langue du Silence, Samantha BAILLY

Le sacrifice du Guerrier, Jacques MARTEL

sdg1.jpgLe sacrifice du guerrier t2

Danse la gigue!

samedi 20 juin 2009

Juste heureux de voir la maquette d’Itinéraires #04 avancer!